Formation HTML/CSS
I) HTML/CSS
A) présentation du langage
B) la structure
II) HTML5/CSS3
A) Les nouveautés
B) Les nouvelles balises
III) XHTML (métadonnées)
A) Découverte du XHTML
B) Découverte des balises du XHTML
IV) Javascript (DOM)
A) Présentation du javascript
B) Programmation en javascript
C) Programmation web en javascript (le DOM pour le web)
V) Php-Mysql
A) Découverte du php
B) Découverte du langage SQL
C) Découverte de MYSQL (Base de données)
VI) Création d'un site web intégrale au normes d'aujourd'hui
Reprise des notions de la formation compléte pour créer un site web
Bonus:
Découverte de CMS (Content management system) ou (Gestion de contenu)
Dalgona Cafe
Recette simple et facile a preparer peLibre à vous d'utiliser une cuillère à café ou à soupe pour la réaliser. Ainsi, il vous faut :
- 2 cuillères d'eau chaude
- 2 cuillères de café instantané
- 2 cuillères de sucre de canne
- des glaçons (facultatif)
- 1/2 verre de lait
Dans un petit saladier, mélangez l'eau chaude, le café et le sucre. À l'aide d'un batteur électrique, d'un fouet ou d'une fourchette, faites mousser la préparation jusqu'à l'obtention d'une crème fouettée. Réservez. Remplissez de moitié une tasse ou un grand verre de lait. Vous pouvez du lait de vache ou le remplacer par du lait végétal, que vous pouvez faire vous-même. Versez délicatement la crème de café avec une cuillère dans le verre de lait. Dégustez et partagez !
Astuces : comme dans la recette du café frappé instantané à l'eau filtrée, pour réaliser un Dalgona café froid, vous pouvez ajouter quelques glaçons. Vous pouvez aussi le décorer avec des éclats de biscuits, des vermicelles colorés et des pépites ou des copeaux de chocolat.
Si vous n'arrivez pas a visualiser la recette voici une petite captures des différentes étapes pour réaliser votre Dalgona
Clementine vs Mandarine (Trucs et astuces)
Comment s'est détaché la Grande Bretagne du continent Européen (Geobrexit)
De nouvelles recherches sur les fonds marins de la Manche suggèrent que la Grande-Bretagne et l'Europe furent géologiquement séparées il y a environ 450 millénaires. Ceci s'est produit en deux étapes. Les eaux de la mer du Nord se déversaient du haut d'un barrage rocheux de 100 m de haut et long de 32 km reliant alors Calais et Douvres dans un lac proglaciaire.
Les premières recherches sur cette zone, datant des années 1960-1970, ont mis en évidence des dépressions appelées les fosses Dangeard. À la fin des années 1980, la société Eurotunnel a réalisé des investigations géophysiques dans le détroit. Si leurs données ont permis de définir le tracé du tunnel, leur résultats ne permettait pas de trancher entre les deux hypothèses. En 2002, l'université de Lille et le Laboratoire d'océanologie et de géosciences (LOG) a voulu reprendre ces études. Des profils sismiques haute résolution ont alors été tirés à partir du Sepia II de l'Insu avec l'aide de l'université de Gand.
En 2015, des chercheurs de l'Imperial College
de Londres ont mis en évidence de gigantesques vallées sur les fonds de
la Manche qui ont été interprétées comme le résultat de gigantesques inondations
qui incisèrent le substratum rocheux. À leur initiative, les chercheurs
britanniques décidèrent de constituer un petit groupe de scientifiques
de part et d'autre de la Manche pour se concentrer sur la question des
modalités de l'ouverture de ce détroit.
Une barre de craie a agi comme un gigantesque barrage derrière lequel se trouvait un lac proglaciaire. Ces résultats montrent comment le lac s'est déversé sous la forme de chutes d'eau géantes, érodant l'escarpement rocheux, le fragilisant et, éventuellement, conduisant à sa chute et le largage de quantités énormes d'eau sur le fond des vallées situées en dessous (hé oui on imagine bien l'image du paysage que cela aurait pu etre a ce moment là).
Les dépressions énormes analysées sur les fonds de la mer correspondraient à des marmites de géants, creusées par l'eau qui descendait en cascade de l'escarpement, se fracassant sur le sol et érodant les roches. Ces marmites sont effectivement énormes : jusqu'à plusieurs kilomètres de diamètre et de l'ordre de 100 mètres de profondeur. Et elles furent creusées dans de la roche. Sept dépressions géantes ont été observées, à peu près alignées entre les ports de Calais et de Douvres. Elles seraient la preuve du déversement des eaux du lac dans le sud de la mer du Nord.
Le fait que ces dépressions soient alignées suggère qu'elles sont le résultat de cascades provenant d'un unique escarpement rocheux qui a peut-être atteint 32 kilomètres de long et 100 mètres de haut : la connexion continentale entre l'Europe et la Grande-Bretagne.
Peut-être des centaines ou des milliers d'années plus tard, un nouveau système de vallées, le chenal du Lobourg, a été sculpté par des méga-inondations au travers du détroit. Les chercheurs démontrent que ce système est en connexion avec le gigantesque réseau que l'on observe dans la zone centrale de la Manche. Le déversement de plus petits lacs au front des calottes glaciaires de la mer du Nord a pu être responsable des derniers épisodes d'érosion.
Si ces données montrent de façon convaincante l'existence de chutes d'eau de grande taille, il subsiste des questions non résolues. En particulier, le cadre chronologique n'est déterminé qu'indirectement par des comparaisons de faunes entre les deux bassins marins (Manche et mer du Nord) et les dépôts de la mer Celtique, par exemple. Les seuls prélèvements effectués n'ont pénétré les sédiments des fosses que sur quelques dizaines de centimètres. La prochaine étape sera donc de réaliser des forages profonds afin de recueillir les sédiments piégés dans les fosses et de les dater.